En 2007 puis à nouveau en 2010 et 2011, nous avons effectué avec Raphaël Lellouche plusieurs séances d'analyse sémiologique consacrées au brand content. Des extraits de ces différentes travaux ont été diffusés progressivement sous forme d'articles sur le blog Brand content. Les points abordés sont notamment les suivants : le contenu de marque est un don, le brand content met fin à l'isolement splendide du produit, les marques sont des agents culturels à part entière, le rapport du brand content au temps et à l'espace, le rapport entre brand content et mécénat. Ces analyses ont permis de mettre à jour quelques stratégies culturelles de marques dont celle d'IKEA ou de Red Bull.
A noter également les articles récemments publiés (à partir de travaux de 2007) sur les fondements des contenus de marque :
- la conquête de la fonction éditoriale par les marques
- l'appropriation des genres éditoriaux par les marques
- la crédibilité éditoriale de la marque
- les expériences culturelles autour des marques
Cette valeur ajoutée sémiologique est certainement ce qui nous a le plus permis de décoller en termes de réflexion sur la question du brand content. Ces exemples illustrent l'idée que pour faire autorité dans un domaine, il faut disposer d'une hauteur de vue importante et que cette hauteur de vue peut être apportée par l'analyse sémiologique (surtout si on a la chance de travailler avec Raphaël Lellouche).
cette hauteur de vue peut être apportée par l'analyse sémiologique (surtout si on a la chance de travailler avec Raphaël Lellouche).
Rédigé par : ray ban sale | 28 juillet 2011 à 10:58