Situation personnelle :
Jeune mariée (en septembre 2008), pas (encore) d’enfants
Résumé du parcours :
Un double cursus littéraire et économique (Hypokhâgne – Khâgne classique à Henri IV puis ESSEC)
Des stages tous azimuts (banque, presse, marketing, chaîne TV, start up Internet en l’an 2000…)
Un échange universitaire de 3 mois en Inde et une Licence d’Histoire de l’Art à Paris 1 (qu’on appellerait Licence 3 aujourd’hui…)
En 2003, je décide enfin de me plonger dans le monde du travail à la direction marketing du Groupe L’Oréal, où j’ai successivement travaillé pour Fructis de Garnier, le maquillage Gemey Maybelline et la coloration L’Oréal Paris.
En 2006, je rejoins les équipes de QualiQuanti en tant que chargée d’études.
Ce qui me plait dans le métier des études :
- La stimulation intellectuelle permanente. Le métier des études permet souvent de se pencher sur des problématiques sociétales : le rapport à l’alimentation, la définition du masculin dans la société contemporaine, le nouveau rapport au savoir lié à la révolution d’Internet, la sensibilisation au développement durable, le handicap dans la cité, etc.
- La diversité des missions, qui permet de découvrir une multitude d’univers (médias, grande consommation, NTIC, etc.), et de plonger dans différentes cultures d’entreprises.
Ce qui permettrait au métier des études d’être encore meilleur :
Une meilleure prise en compte de l’interviewé en tant que personne, et non comme seule « matière première ». Un réel respect de l’interviewé, dans une relation équilibrée avec l’interviewer.
Quelles sont les spécificités de QualiQuanti ?
Une petite équipe dynamique, sympathique et ultra réactive.
Une organisation originale (télétravail), qui permet de s’affranchir des contraintes traditionnelles du travail, et de gagner en rapidité et en efficacité : réunionite, heures de pointe dans le métro, des mots que j’ai aujourd’hui oubliés !
L’évolution de l’entreprise QualiQuanti ?
Une croissance pérenne, grâce à un renforcement permanent de nos pôles d’expertise (luxe, médias, brand content).
Centres d’intérêt en dehors du travail :
- L’art sous toutes ses formes : dessin (je dessine un peu), peinture ancienne et contemporaine, photo, design.
Voici quelques-unes de mes émotions esthétiques :
L’Assomption de la Vierge (Titien) ; Vierge à l’enfant (Botticelli) ; David LaChapelle ; Lampe Fortuny (Mariano Fortuny, 1904) ; La vision après le sermon (Gauguin) ; Roberto Lopez, ouvrier texan (Avedon) ; Fauteuil (Ron Arad)
Mais aussi le cinéma (films fétiches : Pierrot de Fou de Godard, Accatone de Pasolini, Bananas de Woody Allen, et plus récemment : La cité de Dieu de Fernando Meirelles, Le dernier roi d’Ecosse de Kevin Macdonald), la musique (de la Tétralogie de Wagner aux Ting Tings…), la lecture (de Sartre à…Elle Magazine, oui, j’avoue).
- Les voyages, aussi bien sac au dos que dans des palaces, que ce soit à l’autre bout du monde, sur les côtes normandes ou…à Paris (il y a toujours un endroit à découvrir).
- toutes les occasions de faire la fête (anniversaire, printemps, soleil, etc.)
- Et un peu de sport quand même : Le pilates (sorte de yoga), le vélo à Paris (sur MON vélo).
Liens vers sites persos ou sites appréciés :
www.dezeen.com: magazine de référence sur le design et l’architecture
www.netaporter.com vente en ligne de vêtements de marque (j’y fais plus de lèche vitrine que d’achat…)
Les podcasts de France Culture, notamment Les nouveaux chemins de la connaissance par Raphaël Einthoven (la philo à portée de tous !)
plainte déposée aux droits de l'homme et amnesty internationale : l'Europe demande de la faire circuler :crime chimique organisé en France psychiatrique neurologique, détournement du GABA cérébral,migration en danger, grave problème ethique et déontologie humaine,sur la population la plus pauvre, cobail neurologique cérébraux homme expériemental en détruisant le GABA du cerveau avec dégâts corporels et cérébraux il ne faut pas laisser faire ça, je ne savais pas que chercheure cela m'attendai, ça coute très cher de dénoncer le système de soins en France
Crime chimique organisé en France psychiatrique neurologique, détournement du GABA cérébral, migration en danger, grave problème éthique et déontologie humaine, sur la population la plus pauvre, cobail neurologique cérébral homme expérimental en détruisant le GABA du cerveau avec dégâts corporels et cérébraux il ne faut pas laisser faire ça, je ne savais pas que chercheuse cela m'attendrait, ça coûte très cher de dénoncer le système de soins en France.
Crime chimique à prévoir dans le monde avec les DSM5 américaine et française et en Europe par destruction cérébrale neurologique, en France déjà depuis vint ans. Soins programmés dans les populations les plus pauvres ce qui explique les morts sur ordonnances
STOP aux DSM5 mortifères construction oligarchique
ALERTE et PRÉVENTION santé publique -Problèmes graves rencontrés pour le sevrage actuel du traitement antipsychotique neurologique, maladies corporelles induites DSM5 en France
Abylify, Depakote, Loxapac, Seroplex, Lepticur, Théralène, Valium roche.
Entre deux médications, Xéroquel, lysanxia Largatil
Généralement le patient a un droit en HO déposer une saisine pour abus d’hospitalisation, il la dépose, entre-temps on le fait sortir en permission, légalement il n’est plus en HO et ses plaintes ne sont plus valides, c’est tout simple. Et le patient ne le sait pas, ça m’est arrivé deux fois, pour pouvoir comprendre cet abus de droit.
Droit de l'Homme en France actuellement, juristes, société, santé sectaire, des DMS européenne, juriste sectaire, où est la démocratie en France et de l'Europe sur l’Éthique humaine, quand elle permet de tuer certains ?
J’interpelle_ membre suppléant à la commission européenne – Santé _sujet très important de médecine en France, de psychiatrie sectaire dans ses hôpitaux, de société et de laisser-aller à tuer et les DMS à la norme européenne
Quand les sectes en France dirigent la médecine, c’est grave, très grave
_ La mort et le suicide légalisés en France dans ses hôpitaux publics et exportés à l’Étranger
Voici un dossier qui montre bien le silence hégémonique depuis quarante ans dans la santé publique à l’heure actuelle et dans nos hôpitaux publics, une rescapée de Freud dans un dispensaire et de Lacan à deux reprises et de justesse de ce système, qui refuse d’exercer
La mort et le suicide légalisés en France
Le grand scandale du jeu de la mort-la santé pervertie est paru à ce jour dénonçant le système de soins
Addenda y fait suite à la situation rencontrée en août 2015, dans l’agir les deux parus chez EDILIVRE
J’y interpelle les généralistes quand les psychiatres veulent enseigner aux généralistes comment soigner les pathologies mentales avec des DMS5 à l’heure actuelle, et des psychiatres qui se cachent derrière les mythes quand ça les arrange pour justifier la mort de l’homme. Dans les dispensaires d’État aussi.
Il faut un temps pour réfléchir, un temps pour dire et écrire un autre pour agir, ce moment est venu, je rassemble les preuves actuellement
J’accuse la psychanalyse freudienne et lacanienne d’être une secte démocratisée depuis 1900 qui tue certains en silence
J’interpelle le gouvernement les personnes citées dans addenda devront comparaître
Je demande qu’un débat public démocratique libéral soit ouvert au public
Parce que cela entraîne la médecine mentale à l’heure actuelle et les hôpitaux publics
Je fais de la Recherche Action recherche pour aider l’homme de façon humaine ici et maintenant
Ce système de soins ne doit plus exister pour nos enfants actuels, il est strictement contraire aux droits de l’homme, sa façon de penser, et porte atteinte au corps ce système est encore pratiqué dans les dispensaires à l’heure actuelle et entraîne la médecine derrière elle
L’organisation sociale n’explique pas tout, surtout les morts qui n’ont jamais pu parler
On peut cacher cent ans de théorie, la troisième génération si elle a survécu, parle
Êtes-vous prêts à me suivre dans mes démarches ?
Connaissez-vous des journalistes du droit de l’homme ?
Après le scandale du sang, le scandale des esprits des têtes
Et on veut soigner à la norme européenne les hommes comme des légumes génétiquement modifiés, DMS5
Il y a des idées qui tuent en France
Une chercheuse en psychothérapie humaniste existentielle non réglementée canadienne
Une chercheuse en psychothérapie humaniste existentielle Action Recherche en France ici et maintenant
Le 13 octobre j’ai reçu le témoignage au téléphone d’un Algérien en psychanalyse lacanienne au bord du désespoir.
Marie-Lise EHRET
[email protected]
Marie-Lise EHRET
17 rue Baudoin
75013 Paris
FRANCE
01 44 24 37 75
Les DMS pourquoi ? L’homme et sa santé ne sont pas une marchandise
Sujet très important pour la santé humaine qui dénonce les DMS européennes où l’on soigne avec des médicaments pour toutes les pathologies, des molécules neurologiques pour en cacher les défauts et d’autres correcteurs de tous ces médicaments réunis. Le cerveau de l’homme n’est pas un légume.
Avant de vouloir diriger l'homme, l'Europe et le Monde, pour que l'histoire ne se répète pas, il faut une éthique morale en France et une recherche sur l’entité humaine, ça m'éviterait de crier à l’Europe des soins humains stop
Le Droit de l’Homme où est-il dans l’Europe et dans le Monde ?
Qu’est-ce qu’une Démocratie libérale socialiste française
Il y a des hommes étrangers qui font confiance en cette démocratie où est-elle ?
Message envoyé à l’UNESCO, à l’ONU, à l’Europe, aux députés, aux Sénateurs, au droit de l’homme et aux généralistes, au ministère de la Santé publique.
Si les généralistes nous soignaient pour toutes les pathologies, serait-ce gérable ?
Avec leurs molécules à eux et celles des spécialistes ça donne quoi sur l’ensemble du corps ?
L’enseignement psychiatrique par des professeurs neurologues, veut-on faire avoir des crises d’épilepsie à l’Europe ?
Vous passez du 38 au 44 ce n’est pas grave vous ferez appel à SOS médecin pour votre colonne vertébrale coincée, ou passerez chez un diététicien. Vous vous rhabillerez. Perte pondérale six mois à huit mois après l’arrêt du traitement.
Vous chutez dans la rue, ce n’est pas grave, risque de fracture, c’est que vous êtes fatiguée…ah ?
Avec les DMS 5 tout est gratuit, combien de molécules un corps humain peut accepter sans danger ?
Et puis après…ce sera les DMS mondiales … ?
Il n’y a pas d’histoire des sciences sans l’éthique humaine et l’histoire de l’homme actuel
Et ça ne dérange personne que ces soins psychiques mortels et physiques soient promulgués en Chine, au Japon, en Afrique, dans les pays musulmans ?
Pourquoi aucune statistique n’a jamais été faite en France depuis quarante ans, c’est ce qui aurait montré le problème... Non ?
Les psychiatres-psychanalystes à la Pitié Salpêtrière, France, montrent a plus b que nous sommes tous psychotiques, avec un noyau qui n’existe pas, dans dix ans ça va donner quoi que nos enfants sont tous paranoïaques et schizophrènes pour justifier la pharmacopée ?
Quand les psychiatres français me disent d’exercer sans rien dire, je refuse, on ne fait pas passer à l’acte les hommes en leur faisant voir la folie, en les soignants après, ça c’est de la prévention, j’ai toujours tiré les hommes vers la vie et non vers la mort
La Belgique, Genève, la Norvège, la Finlande, la Suède, le Danemark, la Suisse...sont plus respectueux des droits de l'homme c’est vers eux que j’oriente mes recherches.
Ce n’est pas au patient de se méfier des dérives sectaires des psychiatres et psychothérapeutes, dans les établissements de soins français et dans les hôpitaux (circulaire pour les patients à Paris 13) le patient n’en a pas la compétence, il voit un établissement d’État, on lui demande d’avoir confiance et après ? De plus les médecins la pratiquent et [email protected] me dit que ce n’est pas une secte. Le gouvernement ne prend ainsi aucune responsabilité.
Le coma ou la boucherie il ne la verra qu’à la fin du travail. Si je vais à l’hôpital, je ne méfis pas si les outils sont stériles ou les médicaments appropriés ! Et vous avez le culot d’enseigner Prévert 1946.
Que certains meurent apparemment en France tout le monde s’en fou
Quand des sectes tuent en grand on en parle à la télé, quand elles tuent une à une, avec le silence de la science, personne ne dit rien.
Quand des médecins psychiatres me disent d’exercer sans rien dire je réponds : celui qui sait se tait et ne dit rien est un criminel, l’escroquerie dont parlait le psychiatre Lacan plus les DMS ça fait beaucoup pour la santé humaine de tous !
Et on exporte tout ce bordel à l’Étranger en se faisant tout à fait bien-pensant et aidant !
Quand on veut enseigner la Shoah à l’Étranger et que l’on tue certains en toute impunité où est la morale ?
Quand on débilite une population sociale la plus miséreuse dans le monde.
Avis IMPORTANT
Que personne ne prenne de traitement antipsychotique à l'heure actuelle,
On modifie le GABA du cerveau détournant avec 6 molécules le fonctionnement naturel cérébral
Conséquences du sevrage :
Grippe permanente, corps glacé et tremblant, nausée, malaises, déséquilibre, tics, tension cérébrale, glandes corporelles détraquées, intestin et appétit détraqué, diarrhée permanente, la respiration accélérée, battements du cœur accélérés, muscles rigides, estomac rétréci et dur…. STOP !
Déni iatrogène de l’homme, pathologies induites, en détruisant le bon fonctionnement naturel de défenses biologiques. Déni de l’expression dépressive androgène et pathogène. C’est d’abord le sujet au passé et le sujet au futur qui s’estompent : la mémoire, l’identité, la liberté, le projet ; le sujet vit de plus en plus dans un présent limité et appauvri.
Une éthique et une entité de l’homme et une empathie véritable et sociale sont nécessaires.
Le mot empathie est à redéfinir, la communication entre soignant et soigné doit être améliorée, c’est pouvoir se mettre à la place de l’autre, de ses ressentis, en quelque sorte une alliance thérapeutique entre tous les intervenants, l’infirmier n’est pas un distributeur de médicaments, le médecin n’est pas un prescriveur de molécules à l’aveuglette pour tous ; en gardant son professionnalisme, il doit pouvoir se remettre en cause, tout en se préservant, ou quelque chose comme ça…dans ma profession précédente je n’avais pas de problème avec ce mot-là, il n’y a là aucun pouvoir et aucune domination affective, mais beaucoup de compréhension, une écoute véritable est toujours positive chez tous les intervenants auprès du soigné. J’aime la façon dont ils travaillent au Canada tous ensemble, la parole de l’infirmier a autant de valeur que la parole du thérapeute que celle du psychiatre, du plus petit au plus grand, il y a moins de dérives. La philosophie y est incluse.
Les dispensaires n’ont peut-être pas le temps pour la pratiquer me direz-vous, ça ne demande aucun effort pourtant, c’est une façon d’être naturelle et d’appréhender l’autre qui est différente.
La psychiatrie doit faire des recherches scientifiques en sciences, prouver ses sciences, déliée de la psychopathologie et du politique et du neurologique, et de la pharmacopée mondiale. L’homme neuronal n’est pas encore là.
Bilan de quarante ans de soins catastrophique. Elle accumule les erreurs au fur et à mesure comme une boule de neige, plutôt que de recréer une nouvelle et saine à côté. Défi éthique et Recherches humaines !
Risque à venir :
-Risque de maladie d’Alzheimer avant l'âge
- Risque de maladie de Parkinson avant l’âge aussi
-Risque pour la femme de bébés flottants, c'est à dire qui présentant les symptômes alcooliques et de drogues à la naissance
- La souffrance d’une conscience au présent sans mémoire à long terme
- La conscience au présent peut être parfaitement présente alors que la mémoire à long terme est fortement détériorée comme dans les destructions du lobe temporal interne (comprenant l’hippocampe) par encéphalite, traumatisme ou résection chirurgicale
- Au fil du temps, cela conduit à une augmentation du nombre d'utilisateurs de toxicomanes, à long terme
-Risque de débilité du peuple le plus miséreux socialement en sectionnant l’agir dans le monde
- Risque d’interférence sur les instincts et naturels créateur par régulateur d’humeur
- risque de traumatismes cérébraux irréversibles
-Provocation de maladies intercurrentes, non dues aux pathologies particulières, mais induites par la chimie qui détruit la biologie et les défenses naturelles du corps.
-Destruction du NCN
-Déni iatrogène IHAD, non du au retour d’une maladie, mais provoquée par un déséquilibre des défenses naturelles
-aucune structure de désintoxication, aucune psychothérapie des pathologies induites en France à 100 pour cent -impossible de dire comment je vais sortir de là, ni des lésions cérébrales provoquées.
À suivre…pour les plus démunis, que prises faire ? Rétablir le corps biologique à un coût molécules naturelles et défenses immunitaires, non remboursées à la charge du patient. Compléments alimentaires
Le cerveau de l’homme n’est pas binaire.
Notre horloge biologique particulière à chacun, elle devient quoi dans ce merdier ?
STOP !
Pour une autre façon de voir l’homme responsable et non infantilisé
Après l’avoir tellement divisé, il faut le réunifier avec philosophie, la nature et le corporel.
La science psychiatrique neurologique n’a pas à dominer le corps naturel
Les aides sociales accordés à l’homme pour survivre ne sont pas des dettes, mais du et un droit démocratique qui peut servir à être utile dans un domaine précis que l’on connaît. (Finlande)
Problèmes rencontrés au cours du sevrage, en France actuellement en décembre 2015
Impossibilité d’avoir mon dossier médical, quand je dénonce la psychanalyse, monsieur Odier, mythologue, psychiatre et psychanalyste rue Albert Bayet Paris 13, me brandit oralement un droit supérieur à ma demande, Hippocrate, dont je n’ai pas compris le sens dans son cabinet, ni la loi, ni les alinéas dont il est question. J’ai redemandé par écrit qu’on me signal de quoi il s’agit ainsi qu’à Monsieur Sallustreau directeur de l’Établissement.
La rue de Varenne m’a transmis mon dossier
J’ai pris ce traitement en 2008 en toute confiance, je me suis posé des questions seulement en 2015 lors de résurgences de malaises épileptiques et de chutes dans la rue sans même un caillou pour les provoquées, la main droite immobilisée deux semaines, rien de casser juste traumatisme. Et je trébuchais un peu trop sur mes chats.
C’est à rebours que l’on peut comprendre, il n’y a pas de résilience (mot inventé par un psychiatre) chez moi, mais une démarche mentale, pour comprendre, c’est plus long, mais plus sûr. C’est à rebours et à la désintoxication et en essayant les molécules séparément (addenda).
J’ai signalé que le premier symptôme de l’Abylify était une vision trouble, ma psychiatre me répond non, c’est impossible, il faut faire des recherches sur les vingt dernières années à l’Étranger pour voir si des problèmes visuels étaient en augmentation dans la population.
Pour m’aider à la désintoxication elle m’a donné du Laroxyl, qui accélère les battements cardiaques et rigidifie les muscles alors que je suis justement en train de combattre cela, je m’autorise à prendre cinq gouttes de valium quand mon corps parle trop et la relaxation, piscine, pour essayer de réguler mon problème actuel.
La dernière fois jeudi 17 décembre 2015, me dit que j’ai maigri, normal non je suis en train de réapprendre à manger, l’estomac dur et rétréci, la diarrhée permanente aussi que j’essaie de contrer par des gélules micros organiques naturelles. Lactibiane.
Suite à un problème survenu dans ma vie privée, entre ma banque, un chèque frauduleux reçu et le commissariat, me regarde et pense paranoïa, délire, je sens qu’elle veut m’hospitaliser, lui fait comprendre que ce n’est pas un surgissement de pathos, je lui signale que j’ai une lettre sur moi disant que je suis en sevrage, avec toutes les molécules qui ne doivent pas m’être de nouveau administrées. Pour me protéger s’il m’arrive quelque chose même dans la rue, comme on le fait à Lausanne et au Canada.
Quand j’ai le corps glacé et tremblant (genre de grippe) nez qui coule, je vais me réchauffer sous la couette.
Vous êtes en colère me dit-elle, mauvais pathos, bien oui, normal vu le constat, quand elle me parle de traitement à vie, je n’ai jamais demandé d’être médicalisée à vie, avant je ne prenais même pas un somnifère pour dormir. Je rappelle que j’étais atterri en psychiatrie pour une cause précise, les dégâts de la psychanalyse lacanienne et pouvoir reprendre mes esprits.
Personne ne peut expliquer cette rigidité du tronc cérébral à la base cervicale, je mets un gant de toilette chaud pour la décontraction…je ne sais pas d’où ça vient….
J’essaie de régler la pression cérébrale avec du Formag. Ça a l’air de se calmer…
La raideur, les jambes qui sursautent toutes seules et le picotement dans les jambes comme des aiguilles j’ai signalé me fait penser au Lepticure, qui me fait penser à la maladie de parkinson, réponse du psychiatre, non impossible.
Ma psychiatre pense que je pense trop aux maux corporels, mais c’est avec eux que j’essaie de contrer les problèmes et de réparer du mieux que je peux, négation du corps en psychiatrie. Ne veut rien entendre ni savoir. C’est quand j’ai cherché à comprendre tous ces mots à l’étranger que je me suis dit, tu n’es pas la seule à qui ça arrive, démerde-toi au mieux.
Pour ne pas attraper de microbes cet hiver, je prends de l’huile de foie de morue et du miel au thym, je pense que c’est bien de ne pas m’être faite vaccinée contre la grippe…enfin je ne sais pas.
Nous n'avons aucune idée de ce qui interaction des conditions psychosociales, les processus biochimiques, les récepteurs et des voies nerveuses qui conduisent à des troubles mentaux et les théories que les patients atteints de dépression n'ont pas la sérotonine et que les patients atteints de schizophrénie ont trop de dopamine ont longtemps été réfuté. La vérité est tout le contraire. Il n’y a pas déséquilibre chimique pour commencer, mais quand traiter la maladie mentale avec des médicaments, nous créons un déséquilibre chimique, une condition artificielle que le cerveau tente de contrer. Et que maintenant je me retrouve seule pour faire le chemin inverse.
Le sommeil, je n’ai pas récupéré mon sommeil naturel, en ce moment se présentent des rêves liés à une trop grande réalité, mais je recommence à bâiller depuis deux jours, cela ne s’était pas produit depuis dix ans, c’est bon signe. Je ne sais pas pourquoi, mais je le ressens comme ça, c’est naturel. La mémoire, je ne sais pas encore…mes recherches m’aident à entretenir l’intellect.
Je fais confiance à mon cerveau, ma volonté pour retrouver ses propres connexions cérébrales et refaire les connexions avec le naturel, combien de temps ça va durer, je ne sais pas, c’est répertorié en Finlande et au Canada, en Amérique, ça peut durer deux ans, sept ans, certains déclenchent des pathos organiques et meurent.
Je n’ai pas le temps de créer un autre livre, je me répare d’abord, et je pense que c’est urgent qu’il faille que ça se sache, problème de création rencontré au cours du traitement, pour faire ces deux livres j’ai été obligé d’arrêter les médicaments nets, trois jours c’est le maximum, mais cela a impliqué trois jours sans dormir, sans manger…réponse psychiatrique, mais ça vous convenait bien comme ça ! mais non pas du tout, l’intellect et la création ne fonctionne pas comme ça dans la vie.
Il y a dix ans je suis allée voir un psychiatre sympa, où j’ai pu expliquer que l’imaginaire des femmes n’utilisait pas les mêmes parties cérébrales que le masculin. Il y avait là échange…c’était bien. Pourquoi unifier les réactions cérébrales ? L’organisation sociale n’explique pas tout.
Ce n’est pas aux laboratoires pharmaceutiques d’être plus psychologues que les médecins en inventant des pathologies nouvelles, le médecin est un être responsable, qui doit soigner l’homme pour son bien. Et surtout entendre ce que son patient lui dit, et non pas nier tout ce qu’il dit.
Résultat en France de quarante ans de soins
-premier travail, je tombe sur une psychothérapeute freudienne sectaire de dispensaire qui m’invente une vie, la haine d’une mère alors que j’ai été élevée par l’État jusqu’à sept mois et un dieu, la paranoïa, me mène dans le décor, pour faire sortir un inconscient qui n’est pas le mien ni l’universel, avec dix ans de traitement psychiatrique pour rien. J’ai pu me sevrer toute seule, sans dégâts corporels, apparemment les médocs étaient moins nocifs, ancienne médecine.
-deuxième travail, je tombe sur un psychanalyste lacanien reconnu par l’État sectaire, qui m’invente un père, met ma mémoire jusqu’à sept mois, sur l’imaginaire, m’invente le nom du père alors que j’ai le nom de ma mère, m’invente un dieu, me mène dans le décor, pour faire sortir un inconscient qui n’est pas le mien, la psychiatrie me récupère avec un traitement moderne, quand je conteste elle me dit on ne soigne plus comme ça aujourd’hui, résultat le sevrage est catastrophique et de plus en plus dangereux.
Résultat et le bénéfice pour le patient sont nuls je dirai même catastrophiques, il abrège les vies.
Celui qui reste sous traitement à vie, celui qui n’y est pas passé à deux reprises, en psychanalyse, ne comprendra rien à ce qui lui arrivera plus tard. Des prospectus « bien vivre avec son traitement psychotique » circule à côté de prospectus « demandant au patient la méfiance des psychiatres sectaires ». Alors que le dispensaire pratique la psychanalyse. Mais le patient ne sait pas, et n’a pas la compétence des risques que cela comporte, tout comme le psychiatre tout à fait inconscient du résultat global de ses médicaments.
Il faut prévenir les maladies et non pas essayer de réparer ce qui a été induit et que personne ne comprend, ni mon généraliste ni le psychiatre prescripteur.
Faire des bilans sanguins et biologiques, ne serait-ce que pour le taux de dépakote dans le sang et autres molécules sur ce genre de traitement. Molécule qui d’ailleurs je l’ai toujours su passe dans le placenta et entraîne des malformations congénitales 1974.
Les maladies intercurrentes et la désintoxication doivent être prises à 100 pour cent par la sécurité sociale tout au long du sevrage, le patient n’en est pas responsable. Les maux provoqués par la chimie neurologique, doivent figurées sur l’ordonnance du psychiatre en désintoxication sous la rubrique de l’ordonnance maladie intercurrente, pour que la sécurité sociale soit avertie du résultat des ordonnances. C’est ce que j’appelle de la prévoyance et une ouverture de compréhension pour d’autres professions médicales et sécuritaires.
Quand les assistants sociaux travaillent avec les psychiatres et refusent de témoigner comment ils m’ont récupérée en arrivant au dispensaire dans la déchéance humaine, le patient n’a plus aucun droit. À suivre…la désintoxication, pour le moment j’alerte la France, la santé publique et les droits de l’homme.
Le problème en France est l’utilisation de la confiance du patient, une secte, le laisser-faire politique, la hiérarchie et la toute-puissance des soins psychiatriques scientifiques des médecins aux simples infirmiers dont le rôle il me semble est de transmettre aux supérieurs les problèmes rencontrés avec les médicaments. Le social lié aux psychiatres. Mon généraliste n’utilise pas ma confiance que je lui accorde pour me faire ingérer des pathos, et une dépendance à vie. Il m’écoute au moins et change de molécule quand je lui signale des problèmes.
Le 21 décembre 2015 suite à ce que je dis ici et envoyé au dispensaire Albert Bayet paris 13, ma psychiatre, le Docteur Racine, désir me parler demain, le 22 décembre, je ne ressens pas ça très bien, et je ne veux pas de stress supplémentaire, sans savoir si je sortirais du dispensaire avec le risque d’une autre hospitalisation psychiatrique dont elle a le pouvoir, m’inventant un pathos nouveau, sans tenir compte de la lettre sur moi que je procède du droit du patient, je décide de quitter en urgence le dispensaire. Je n’ai plus confiance. C’est un droit au sevrage qui n’est pas entendu, un coût à la parole avec de gros risques et porte un péril de ré intoxication, pour mes droits sociaux puisque tout est lié, je vais donc être obligée de m’adresser ailleurs. A la mairie. Fin avec le dispensaire…les symptômes nul ne sait… le message fut adresser en urgence par mail à Ingrid Favier ASM 13 avec accusé réception. Le 21 décembre à 19 h 25. A transmettre au Docteur Racine, Docteur Odier, Docteur Sallustreau. Reçu. Je croyais que ça s’arrêterai là … !
STOP ! aux DSM5 en France
Assez du silence depuis cent ans dans la santé publique en France
Ces deux livres vont atterrir sur le bureau du président, et ministre de la santé publique française et tous les organismes ci-dessus cités.
Pendant ce temps-là nos ministres de la santé nous parlent du danger du Nutesla.
Et du trou géant de la Sécurité Sociale ! C’est un joli mot « sécurité » « sociale »
Réponse de la Sécurité Sociale : nous ne sommes pas affiliés à un organisme de droit public, le 23 décembre 2015
En ce moment Hippocrate il est chez les généralistes qui pensent à l’homme.
Je ne sais pas à ce jour 20 décembre 2015 comment je vais récupérer …. Nul ne sait.
Ce n’est pas au patient d’avertir le gouvernement, ni de faire de la prévoyance, mais aux professionnels de la santé publique.
Je ne suis qu’une fourmi contre l’éléphant, mais j’ai peint un truc qui dit que la « Vérité rend libre ».
Même quand on essaie les molécules une à une, personne ne vous croit :
Abylify 15 mg : sur deux essais, espacés d'une semaine : effets rapides ¾ d’heure après, vue trouble 7 min, transpiration froide du haut du corps, à tordre les vêtements 5 min, vomissements 5min, crise d'épilepsie à la fin, 3 min, alors quand on ingurgite six molécules pour détourner le cerveau humain, je vous laisse deviner, voilà, vous savez. Une fois j’étais au cinéma, une autre fois chez le vétérinaire. Je ne pensais pas que ce tout petit comprimé faisait de tels dégâts et si vite.
Séroplex 20mg : antidépresseur, si vous présentez une épilepsie le traitement doit être interrompu en cas de survenue de convulsions dès la première fois ou en cas d’augmentation de la fréquence des crises, ce qui n’a jamais été entendu.
Loxapac 50, 100 en HO : psychose aiguë, délires paranoïaques, schizophrénie : seule crise d’épilepsie, tremblements des membres inférieurs. Le genre de grippe permanente, corps glacé et tremblant, à l’arrêt du traitement total, je pense, vient de là, je n’en suis pas certaine.
Valium 30 mg : anxiolytique alors que je ne suis pas anxieuse : somnolence, douleurs musculaires, respiration accélérée. Je me souviens qu’il passait dans le lait maternel autrefois.
Constat du Séroquel : antipsychotique, sur une semaine, aggravation très nette de la dépression
Loxapac et valium : le cœur bat plus vite et le souffle est ralenti, parfois transpiration chaude, ralentissement à la marche, baisse intellectuelle. Constipation. Prise de poids.
Théralène 40 mg : insomnie, sécheresse de la bouche, somnolence le matin, baisse de mémoire et de concentration, déséquilibre, incoordination motrice.
Dépakote 1000 mg : anti épileptique, passe dans le placenta, je ne l’ai pas essayé, mais je sais que le dépakine avait rapport avec le foie, je connais très bien cette molécule. J’en parle dans addenda quand je me révolte, elle servait au neurologue pour guérir les épilepsies Professeur Mignot neurologue, une avancée de la science, il y a trente ans que je ne faisais plus aucun malaise, maintenant on provoque et réveille des crises d’épilepsie en psychiatrie neurologique, et se retrouve sur le devant de la scène pharmaceutique, rien que cela devrait alerter le ministère de la Santé publique, si je n’ai pas de traitement psychiatrique je ne fais plus de crises.
Lysanxia 30 mg : anxiolytique, respiration ralentie, fatigue, défaut de vigilance ralentissement de la conscience. Je ne sais pas, pour le reste je ne l’ai pas essayé tout seul…
Lepticur 10 mg : donné pour le tremblement des membres inférieurs, extrapyramidal induits par les neuroleptiques. Je ne l’ai pas essayé seul. A l’arrêt du traitement en entier le picotement comme des aiguilles dans les jambes me fait penser à ce médicament.
Le Largatil 75 goutes : antipsychotique, je n’en ai pas voulu, à court terme raideur des membres, à long terme troubles cardiaques, perte d’initiative, ralentissement de l’activité, même pour la désintoxication. J’étais justement en train de combattre cela à la désintoxication
(Tout médecin psychiatre devrait essayer un comprimé d’abylify et un autre une semaine après pour confirmation des effets de ce médicament et remettre leurs blouses blanches les autres molécules pour les courageux. Puis l’ensemble bien évidemment. 8 ans Quel médicament cause quel symptôme ?
Dans tout ce bordel j’avais juste besoin d’un antidépresseur et de lysanxia seulement au début de ma fin d’analyse lacanienne.
Je refuse de faire marcher le système de désintoxication, un autre système qui se nourrit d’un autre, c’est un problème moral de déontologie, d’Éthique et de morale humaine et social, les migrants et les gens les plus pauvres seront tous touchés par le système. Il n’y a pas de sciences sans l’homme.
http://marieliseehret.com/
Et poète
Un poète est toujours universel et humaniste.
Une ancienne professionnelle de la santé avant de devenir chercheuse
À l'heure où j'écris le 1 Er janvier 2016, on n’a rien trouvé de mieux que de me mettre en HO, le 24 décembre, tout s’est précipité, on a sonné chez moi, docteur Racine, l’infirmière, deux ambulanciers, et une personne du dispensaire que je ne connais pas, ce que je présentais plus haut, me ré intoxiquer, le droit du patient à vivre sans médicament où est-il ? Pour faire mes recherches, j'ai besoin de toute ma tête. Pour peindre et poétiser aussi. Je ne veux pas reprendre 20 kg, et tomber dans la rue. Soi-disant je n'ai pas le droit de quitter le dispensaire avant six mois ? Pourquoi ? J’attends la réponse de monsieur Bernard MAZZASCHI. J’ai demandé à ma voisine d’appeler la police en lui tendant ma lettre, le docteur Racine m’a dit la police c’est moi ! J’avais vu mon médecin généraliste qui me trouvait en bonne santé avec la reprise de mon poids d’origine et mon éveil intellectuel, le 23 novembre 2015, je lui ai d’ailleurs donné les livres que j’ai écrits, je ne savais pas encore ce que donnerait le sevrage de ce traitement qui s’est produit trois jours après. Il faut peut-être arrêter de penser pour le trop bien de l’autre ?
Je ne suis pas un cobail humain, ni une lavette comme je l’ai dit à ma psychiatre le docteur Racine.
Je refuse désormais que tout médicament psychiatrique soit introduit dans mon corps et je refuse de faire des examens neurologiques ou supplémentaires pathologiques. Je veux la paix.
Peut-on placer en HO une personne en désintoxication médicamenteuse ? Oui en France ! utilisation de la loi liberticide qui impose le soin sous contrainte à être drogué à vie.
Les molécules naturelles pour rétablir l’équilibre de mon corps n’auront servi à rien. Pure perte financière et de volonté et d’effort de détente, nuls.
Un jour de prison et un an de SPIP pour avoir dénoncé la psychanalyse, deux condamnations pour harcèlement téléphonique.
J’ai essayé toutes les molécules que je dénonce fin 2015 une à une quand j’ai eu des doutes, et toutes ensembles sans savoir et en toute confiance avant.
HO maintenant malgré ma lettre de désintoxication médicamenteuse en permanence sur moi.
J’y retourne lundi 4 janvier, ceci fut écrit dans l’intervalle d’une permission de sortie, il y a toujours une permission au bout de trois quatre jours, ça permet de couper les saisines contestataires.
Mon problème il est où ? c’est d’avoir été un couillon des psys et de la science à deux reprises dans un moment de l’histoire qui ne me correspondait pas. Puisqu’ayant passée ma prime enfance à la DASS dont trois mois d’hospitalisation, un mois d’isolement, trois à la pouponnière, et ensuite changement de ville et placement il y a là mémoire humaine vérifiée par la DASS et non imagination et sans religion, universelle vraiment. J’aurai tout vu, Freud, Lacan, l’ancienne et la nouvelle médecine catastrophique. Le sein de la mère, la haine du bébé pour la mère docteur Szejer ? c’est où dans ma vie ? Le nom du père Lacan il est où, je porte le nom de ma mère ! Oui on peut faire devenir les gens fou en leur inventant une vie qu’ils n’ont pas eue ! Mélanie Klein en sus ! Oui !
Mon seul regret c'est de ne pas avoir été voir mon généraliste, pour une dépression, je m'en serais mieux tirée. Le problème n’était pas dans mon passé à retourner à deux reprises pendant dix ans, mais dans le socius.
Triste et lamentable bilan dans la santé française, accompagné de l’inconscient d’un fou.
Si l’on avait pensé ces problèmes avant nos enfants de nos migrants auraient une place et une identité depuis longtemps, ça leur éviterait d’aller chercher une idéologie ailleurs que chez des malfrats, religieux ou autres. J’exerçais auparavant auprès de la population, globale du terrain quotidien et de toutes les religions et humainement avec beaucoup de bon sens et en équipe qui plus est où la parole de chacun était importante. La culture grecque hein ? Il faut une ouverture d’esprit pour s’occuper de l’homme.
Il y a peut-être moins de cirrhoses qu’il y a cinquante ans, mais combien de dégâts corporels font la drogue, les médicaments et le reste ? Je signale en passant qu’un jus de fruit coûte plus cher dans un café, qu’une chope de bière ou un verre de vin. Je ne bois jamais. On nous pollue l’air, et on fait du fric avec le tabac. Je n’ai jamais eu un chat qui a attrapé le cancer des poumons, mais ça ce n’est pas mon domaine…je ne sais pas….
Le Droit de l’homme démocratique en France à l’heure actuelle en 2015, il est où ?
Il n’y aura pas d’Europe sans l’homme, sans éthique, sans démocratie et sans justice.
Je parle pour nos enfants à venir, rien que pour eux, je suis une femme, les femmes pensent toujours à l’avenir des suivants. Nos enfants ne sont pas psychotiques ! Non !
Maintenant je suis vieille faites ce que vous voulez !
C’est triste à 60 ans de se battre encore ! En parlant d’âge soudain… les médicaments sur un vieux corps ont-ils le même effet que sur un jeune corps ? NON ! Dans mon métier de terrain je peux certifier rien que ça.
Je dis DMS5, souvent, monsieur Odier, pour montrer que ce mot sort de je ne sais où ! Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders. (APA) ah ? Voilà pourquoi ! j’aime bien la langue française ! au moins je sais d’où le pathos vient ! c’est comme acting-out qui a permis durant cent ans de faire passer à l’acte des gens. (Addenda). Pourquoi signer des pétitions avec les psychanalystes contre les DMS5, puisque votre établissement les pratiques ? Ce que je dis ici, et acte, ce n’est pas à moi de le faire mais à des professionnels psychiatres de santé publique.
Ça m’aurait éviter d’absorber autant de molécules pour rien avec ce résultat…Peut-être que les gens avec le temps vont faire comme moi, dénoncer ces listes interminables de médicaments, mais nous n’avons plus le temps à perdre.
C’est dommage que je sois tombée sur vous, après Freud, après Lacan, Pandore deux fois, puis pour ma demande de dossier médical…ce n’est pas que je vous en veux particulièrement, je vous connais peu, mais professionnellement on ne peut pas manger à tous les râteliers.
Et puis je fatigue un peu, je n’ai plus l’âge, il faut me comprendre…
Mais comme vous m’avez dit que vous ne compreniez pas ce que j’ai écris, je vous parle de Freud et Lacan vous me parlez d’Hélène Deutsch (1884-1982), moi je n’utilise pas d’intermédiaire, et si vous savez depuis aussi longtemps les dangers de cette théorie, c’est impardonnable de refiler ça à nos enfants …à Albert Bayet en 2016 et vous me parlez avec un ton tellement autoritaire, et paternaliste que je ne crois pas que vous ayez idée ce qu’est l’intuition, la perception et la psychologie des femmes… Avez-vous fait une psychanalyse freudienne et lacanienne ? Combien de temps ? Je ne sais pas, d’ailleurs ça ne m’intéresse pas… Vous aimez l’art pourtant il paraît...ce n’est pas pour rien que j’ai oublié l’oiseau peint chez moi, lors de notre entrevue.
Un défi éthique…Qu’est-ce qu’un défi ?
Au-delà de la conscience psychologique se situe la conscience morale, qui permet au sujet de porter des jugements sur sa pensée et son action, et le met en interaction avec la société qui l’entoure. Comment tenter de se mesurer à la complexité de la conscience et de ses altérations pathologiques, et plus encore à la complexité de la relation humaine et soignante, dans ces situations qui compromettent l’autonomie d’une personne, son identité, le sentiment de soi et parfois même la présence au monde ? La conscience se constitue en conscience morale lorsqu’elle se fait toute entière évaluation et réflexion sur ses valeurs. Une dimension d’affrontement à l’obstacle ou à la difficulté, s’opposant ainsi à la soumission. Peut-on faire avec le cerveau de l’homme n’importe quoi ?
Voilà, je n’ai rien et n’ai rien à perdre. Personne n’a compris ma poésie, personne n’a compris « différence et répétition », le bien parler scientifique, alors je parle en clair.
« Ce qui m’effraie, ce n’est pas l’oppression des méchants ; c’est l’indifférence des bons »
Martin Luther King
Quand le nationaliste se sert de Barbara, de Prévert, de Brassens, Aragon, il faut au moins respecter ce qu’ils disent, sinon ça sert à quoi ? l’art !
Rassurez-vous je ne me dis pas artiste, ni poète, je n’en ai pas l’ego ni la qualité.
On m’a fait passer à l’acte avec Prévert, Brassens m’a fait réfléchir avec la psychanalyse, faut-il mourir pour ses idées, les sectes ; je rejoins Ferrat parce que je crois qu’il y a encore une pensée engagée collective, pour la psychiatrie, avant qu’il ne soit trop tard, c’est simple comme bonjour.
Mais je peux me tromper, je suis loin d’avoir la science infuse, très loin même, toutes les personnes dans le monde qui se battent pour l’éthique humaine figurent sur ma page Facebook avec les bateaux de Toffoli, c’est la vie, la lumière, l’espoir !
Facebook qui me refuse l’accès aux sites européens et internationaux de recherche.
Communication en France ! (Addenda) Le langage sert peut-être à quelque chose ?
Je remercie le site « combat » je ne sais pas à qui il appartient, mais il me permet de dire sur internet.
Que va faire de moi l’Etat, la psychiatrie lundi 4 janvier 2016, à mon retour, je ne sais pas…
FIN
Ce genre de document doit être respecté en France, parce que j’en ai marre que les autres parlent et spéculent et réfléchissent pour mon bien, avec beaucoup de fausse empathie, sans jamais tenir compte de ce que je pense :
Lettre d’information sur mon état de santé impératif à respecter
En sevrage médicamenteux actuellement
Molécules ne devant pas m’être données pour ma santé actuelle quoi qu’il arrive
1 – ABYLIFY
2 - DEPAKOTE
3 – LOXAPAC
4 – SEROPLEX
5 – THERALENE
6 - VALIUM ROCHE
7- LEPTICURE
8 – LYSANXIA
9- XEROQUEL
10- LARGATIL
Libre de droits
Aucune hospitalisation psychiatrique à présent
Cette lettre est un avertissement s’il m’arrive quelque chose dans la rue ou ailleurs
Elle reste en ma possession en permanence
Droit légal du patient à respecter, pour tous renseignement s’adresser au docteur Laurence Cavaillès, 167 boulevard Vincent Auriol, 75013 Paris Tél : 01 45 82 76 20
Marie-Lise EHRET
Fait à Paris le 25 novembre 2015
Tamponné et signé par mon généraliste
Cette lettre va être tamponnée du médecin conseil de la sécurité sociale le 21 décembre 2015
Pour ma sécurité.
Refus du médecin conseil de la Sécurité Sociale, ici, ce n’est pas un état de Droit
Je soussignée Madame EHRET Marie-Lise demeurant 17 rue Baudoin 75013, ne plus faire partie des soins du dispensaire Albert Bayet Paris 13 ème, depuis le lundi 21 novembre 2015, suite à l’appel du docteur Racine, médecin psychiatre me suivant dans cet établissement dont je n’ai plus confiance.
Marie-Lise EHRET
Le respect du patient commence là. Dans les pays nordiques on respecte cela.
Ma psychiatre dira la police c’est moi, vous n’avez pas le droit de quitter le dispensaire avant six mois, personne ne m’a jamais dit ça, le dispensaire de la rue de Varenne non plus, violence, piqûre, hôpital, HO d’office. Je n’ai pas voulu décrire les symptômes à l’hôpital, parce que je sais qu’au scanner on ne voit rien du tout du trafic médicamenteux. Je suis une professionnelle je sais ce que je dis. Ni de la raideur et douleur du haut de la nuque et que je ne voulais pas que l’on arrange un peu plus d’examens inutiles, une prise de sang a été faite pour voir la déshydratation.
Docteur Baroudet, psychiatre à la Pitié Salpêtrière, vous n’avez fait que lire la lettre du psychiatre Racine, une seule question m’a été posée, vous allez bien ? Oui ! ai-je répondu. Je voulais sortir bien sûr ! Sur le même ton autoritaire du docteur Odier, - allez en HO ! Aucune autre question m’a été posée. Même pas sur le traitement que je prenais. Ni où j’en étais de ma désintoxication au bout de plus d’un mois.
Le respect du patient continue là !
J’ai quand même appeler le dispensaire, pour dire à l’infirmière que j’aurai dû faire constater les hématomes sur les bras et les jambes de ce genre d’intervention, ceinturer par cinq personnes, ça laisse des traces sur un petit corps : venez nous parler de toute façon vous ne craignez rien, vous êtes en placement d’office ! ah ? Personne ne me demande si je peux parler à quelqu’un dont je n’ai plus confiance !
Il n’y a aucune ouverture dans les soins en France sur l’extérieur, aucun respect de l’autre en psychiatrie. Quand vous êtes dans la machine, vous ne pouvez même pas en sortir quand vous voulez, bien oui…j’ai dit à ma psychiatre il y a un petit moment déjà, on dirait : « vol au-dessus d’un nid de coucou » …elle n’a pas répondu, entre la psychanalyse et la psychiatrie et les institutions diverses affiliées, silence !
Le social aussi, la mairie dira de m’adresser à l’assistant social du dispensaire.
L’AAH n’a même pas pris le temps de me répondre, pourtant ça intéresse les médecins psychiatriques de cet organisme, les médicaments ? Non ?
Quand j’ai envoyé mon premier livre accusant la psychanalyse aux victimes de sectes, je suis tombée sur l’adresse du Service Pénitentiaire d'Insertion et de Probation rue Charles Fourrier, annexe Paris 13, refus. C’est à cet endroit que j’ai été condamnée pour dénoncer.
Il y a là quelque chose à faire.
Tout tourne trop en rond en France démocratique.
La communication avec les instances gouvernementales idem, tout est lié sans être relié, beaucoup de numéros, beaucoup de sites en boucle.
Celui qui n’a pas d’argent, de position sociale, n’a aucune possibilité de se faire entendre.
La police n’a pas pris le temps de lire pourquoi je m’étais suicidée, lettre laissé sur mon bureau à deux reprises. Non pas vu Prévert plein de sang à mes côtés, les pompiers non plus.
Monsieur Pogent infirmier psychiatrique me répond que j’étais contente avec mon traitement d’aller à la piscine, comme si j’avais besoin de médicaments pour aller à la piscine et aller peindre dans un groupe. L’interférence avec les autres ne passe pas par les médicaments et dans l’instantané. J’étais sociable avant sans aucune drogue. Et personne ne me demande comment je vis avec ce traitement lourd, il y a toujours une excuse toute faite. C’est infantiliser les gens. Ce genre de réflexions j’en ai un peu assez.
Toutes les associations et clubs dépendants de la psychiatrie, enferment quelque part les malades hors des gens du communs. Il y a cinquante ans les malades étaient pris en charge par les gens du peuple, un schizophrène par exemple lorsqu’il était en danger, les voisins le connaissant appelait la police, il était connu on l’emmenait faire sa piqure et il rentrait chez lui. Je parle ici de responsabilités sociales de tous. Un schizophrène qui maitrise sa maladie, quand il sent qu’il va mal, va tout seul à l’hôpital, et reprend son chemin dans la population normalement. La responsabilité sociale de nos délinquants est du même genre, les gens faisaient autrefois attention aux enfants des autres.
Je ne me sens pas à ma place au Club des peupliers, psychiatrique, pour la même infantilisation, la mairie propose du théâtre, souvent ce ne sont pas les meilleurs spectacles, mais j’en ai marre de me retrouver avec des personnes de plus de 70 ans
Les autres activités sont payantes, peinture etc. Associatives normales, ici l’État se doit de progresser.
Madame Ménagarishuili infirmière psychiatrique me dit que des réunions avec les généralistes sont organisées au dispensaire pour leur montrer le non danger des DSM5 psychiatriques. STOP !
Je soutiens la grève des généralistes, ils sont responsables et conscients, avec la carte vitale, on comptabilisera le passage des citoyens chez eux et à l’avenir on pénalisera celui qui y va trop souvent.
Ma question est : est-ce que la psychiatrie à l’heure actuelle en voulant bien faire, n’a pas trop de pouvoir dans la gestion des gens…je ne sais pas je n’ai pas étudié le problème, ça demande étude. La psychiatrie a une responsabilité sociale. A force de dérive dans son histoire depuis 1914, 1945, juifs, chiliens, argentins…, exerçant toujours dans les zones de non droit, ou de droit affaibli, il faut redéfinir d’urgence cette profession soit c’est une science qui aide à vivre, soit c’est une science qui détruit, alors ce n’est plus une science humaine, il est impératif qu’elle se positionne ici en cette instant, dans ses drogues à vie imposés à l’homme.
La soupe populaire dans le temps était assurée par l’État et non les associations. Responsabilité démocratique affaiblit.
Voilà j’en ai fini, j’observe beaucoup autour de moi.
Nous ne pouvons pas dissocier les gens de l’environnement commun de tous.
Voilà, j’ai tout dis
Ce qu’il va se passer maintenant, je ne sais pas…puisque je ne peux pas sortir de la machine.
Ça fait plusieurs fois que je dis au dispensaire, infirmiers et psychiatre, vous n’entendez pas ce que je dis, je dis que je veux redevenir comme avant, vivre sans médicament. J’étais plus libre, personne ne vous demande ce que cela vous fait de dépendre d’un traitement ? Comme personne ne demande aux enfants ce qu’ils ressentent de dépendre d’un traitement, Ritaline notamment. La chimie se rapproche de plus en plus de nos enfants….laissez les grandir en paix, ils ont le droit d’être de mauvaise humeur si ça leur chante, c’est l’apprentissage de la vie !
Maintenant je retourne en HO, qui vivra verra ! A Wurtz encore tenu par Odier.
Problème se présentant en HO, je suis placée en ouvert sans voir un médecin, d'ailleurs ce ne sont jamais les mêmes médecins, le 24 janvier 2015, je peux cracher les cachets et ne pas les depuis maintenant deux mois, mais les liquides ici je dois les avaler, Loxapac 100 et valium 60, mardi matin crise d'épilepsie frontal gauche, type grand mal. Je le signal au docteur Gouguilis, lui dit que ça vient du Loxapac, l'admet, me le retire, je crois qu'il m'a comprise et lui fait confiance, c'est le premier psychiatre qui l'admet depuis sept ans. Lamentable ! J’ai remis ma lettre de désintoxication, il était au courant.
Dans la nuit du mercredi 25 janvier, les yeux me brûlent, comme si j'avais du sable dans les yeux, jusqu'au matin je ne verrai plus rien des deux yeux, les paupières gonflent, je crois à une conjonctivite. Ils me laissent sortir pour voir mon ophtalmo, je lui dit que j'ai deux choses à dire, je lui raconte l'histoire de l'Abilify elle note dans mon dossier, puis m'examine, en fait j'ai les yeux desséchés, et irrités par le frottement des paupières, deux collyres me seront donné durant six mois, elle me rassure et va me suivre durant un an. Je le signale à l'infirmière qui me dira que d'habitude ça vient au début du traitement, banalisation des effets secondaires, bien sûr je ne dis pas que je ne le prends plus depuis deux mois. Résultat 8 fois par jour de deux collyres.
Je revois à ma sortie le 7 janvier 2015, le docteur Gougoulis, service du docteur Odier, qui me fait comprend que je suis sous obligation de soins, me propose la molécule SEMAP 20, pour sortir je dis oui, je fais semblant d'avaler le comprimé, il n'y a pas de réminiscence de maladie, mais sevrage de médicaments et amélioration sans molécules. Résultat -Dépakote 1000, -SEMAP 20 un par semaine, Seroplex 20, valium 60 gtts deux fois par jour. Je rentre chez moi et me demande comment sortir de là. Je suis à l'heure actuelle sevrée de tous, mais le Semap ? je n'en veux pas, on n'attend même pas de voir les dégâts du premier traitement qu'on me recolle un antipsychotique schizophènique neuroleptique, pour traiter certains troubles psychiques chroniques (schizophrénie, certains types de psychoses...). Contre-indication la dépression, et rebelote pour ma fragilité épileptique ancienne, je vous laisse vous-même voir : Somnolence, surtout en début de traitement. Prise de poids et rebelote, mouvements involontaires ou inadaptés, tics, pouvant survenir lors de la première prise (notamment en cas de surdosage) ou plus tardivement lors d'un traitement prolongé. Raideur musculaire et difficulté à coordonner les mouvements. Hypotension orthostatique Troubles digestifs. Augmentation de la sécrétion de prolactine pouvant se traduire par : absence de règles, augmentation du volume des seins, écoulement de lait par le mamelon. Troubles sexuels. Troubles de la vision et rebelotte, vertiges, maux de tête, éruption cutanée, hyper salivation, sueur. Exceptionnellement : hépatite, troubles du rythme cardiaque (torsades de pointes), syndrome malin des neuroptiques (voir Attention).
Les dégâts sont presque les mêmes que le premier traitement. Je contacte le dispensaire et dis que je n'irai pas si on me force à prendre ça. Je ne vais pas acheter à la pharmacie des médicaments que je mettrai à la poubelle après. Il y a là vraiment une agression pour moi, un non-respect de mon corps, et de ma pensée, c'est une violence profonde presque sevrée 5 gts de valium deux fois par jour. Je ne veux plus que l'on touche à mon système nerveux centrale. J'ai besoin de toute ma tête pour faire mes recherches.
Qu'est-ce qui va se passer si je ne vais pas voir l'infirmier ? Si je vais le voir il peut me faire avaler ce comprimé, ou me l'injecter de force. Si je ne vais pas voir la psychiatre elle peut me faire ré interner. Ceci n'est plus gérable pour moi. Je n'ai jamais été schizophrène ni psychotique, je n'ai pas de délire, il faut que cela s'arrête. Je n'ai pas de trouble chronique. Il me faut trouver une solution avant jeudi. Porter plainte ? je n'ai pas l'argent ! En fait il se passe quoi en ce moment en psychiatrie on est en train de faire des zombies de l'homme sans volonté et sans action et cette molécule particulière porte atteinte à tous les organes vitaux de première nécessité. C'est grave ! faire une contre-expertise, je n'ai pas le temps. Cette molécule à elle seule même me parait plus dangereuse, déjà parce que son stockage dans le cerveau n’est pas le même, et il faut que je la prenne à l’hôpital elle n’est pas en pharmacie. Maintenant oui j’ai peur.
Je sais à peu près la première année, mon cerveau va essayer de s’adapter, mais déjà mon cerveau de vieille aura ses propres problèmes. La deuxième année je ne pourrai plus rien gérer, cœur, foi, peut-être le système bilaire, poumons, peut-être les reins, tremblement des membres, crises d’épilepsie, et j’irai vers l’aveuglement gentiment. Elle est particulièrement destructrice, elle n’a rien à faire chez l’homme ni l’animal ! Mais ça porte un nom ça en médecine ! molécule tueuse chimique du tout en un, d’un dérèglement programmé, à la semaine, on n’est pas loin de la pompe à médicament !
Si je prends cette molécule je ne me donne pas six années de vie ! et je suis généreuse.
Mon cerveau n'est pas un objet pour les psychopathes et sociopathes politiques.
Si on ne fréquente pas le milieu, on ne peut le comprendre, ni les enseignements des psychiatres psychanalystes à la Pitié Salpêtrière.
C’est à l’État de prendre ses responsabilités, moi je signale ce que je ne veux pas pour nos enfants à venir.
On ne brise pas des frontières sans impunité Europe, il faut des centaines d’années pour construire des ponts solides avec d’autres peuples et d’autres cultures. Quand on déconstruit il faut construire en même temps.
Après la manipulation mentale freudienne d’un siècle, il faut laisser les gens respirer avant de tomber dans la manipulation chimique. Est-ce nécessaire d’ailleurs ?
Voir l’homme différemment.
Les psychiatres doivent réapprendre les mots : je ne sais pas et se repositionner immédiatement par rapport au sciences dites humaines.
Nos migrants qui à la base ont beaucoup de problème suite à leur parcours, risque d’avoir leur vie abrégée, j’appelle cela du nettoyage dans la population par intoxication chimique
Je vais envoyer quand même ceci à Edilivre, c'est important pour l'avenir de l'homme, on ne joue pas avec son cerveau en détournant le GABA, c'est une question fondamentale des droits de l'homme d'Éthique et de respect du corps biologique de l'individu. La médecine à un devoir premier, soigner et guérir. Sinon elle ne doit plus porter le nom de sciences humaines.
Abus de pouvoir psychiatrique alors que je suis en désintoxication, outrepassant mon généraliste et la police, on veut me réintoxiquer avec une autre molécule détournant le gaba cérébrale, CREANT LES MËMES SYMPTOMES peut être même pire puisqu’en plus de l’autre il atteint le foi (hépatite)et à vie, je ne pensais pas que chercheuse j'en arriverai là. On peut constater que cette molécule à elle seule atteint tous les organes de première nécessité, cœur, poumons, foi, reins, …
Comment je vais vivre en sachant ce que cela va provoquer sur mon corps et mon esprit une nouvelle fois ? Peut-être pire ? En sachant les résultats d’une première expérience !
Cette molécule programmée sur sept jour je ne pourrai même pas l’interrompre pour créer et faire sortir mon intellect
On libère les grands singes et voici, l’homme cobail …!
Je ne peux rien faire il n'y a pas d'Éthique et de droit européen et la France cautionne les DSM5, je soupçonne un marché financier important rien qu’avec la molécule Dépakote et ce laboratoire pharmaceutique Sanofi, qui cache les crises d’épilepsie infligés à l’homme de par le monde. Risque de malformations congénitales de par le monde
Je me suis fourrée dans la merde....
Mais je crois qu’il faut se battre pour l’avenir de nos enfants contre cela, l’Europe se doit de figurer constructive et non destructrice, ce combat regarde l’avenir de tous. La chaine alimentaire en Chine brisée par des animaux génétiquement modifiée pour la consommation, ça va donner quoi dans la population encore la plus pauvre, personne ne sait, on connait les souffrances à la brebis Dolie et la dégénérescence que ça a donné, les pauvres vont manger ça, Stop !
Une éthique déontologique un droit urgent à accorder à l’homme en cet instant présent. A tous !
Chercher pour chaque pathologie des molécules avec le moins d’effets secondaires possibles.
Ne pas droguer le force les gens à vie.
Elle concerne toutes les corporations médicales humaines, généralistes, yeux, cardiaque, pulmonaire, biologiques, rénale, cérébrales, tout ce qui fait marcher le système de soins par ces pathologies provoquées. Bien stop psychiatre, vous soigner quoi là ? en plus avec des mauvais pathos de départ.
Un respect de l’homme doit être maintenant déterminer.
J’attends, je suis toute à fait dans le non droit et on peut m’interner quand on veut, me mettre en prison quand on veut, mais l’Europe se doit de savoir. Cette molécule particulière de 2013 je la refuse et de droit en plus. J’ai cherché depuis comment échapper à cette molécule, je n’ai aucun droit, intoxication chimique médicamenteuse à vie…jusqu’à ce que mort s’en suive.
Mais je pense ce c’est un joli combat et défi pour l’avenir de l’homme.
Il y a encore des valeurs humaines, hors finances, les peuples n’évoluent certainement pas de cette façon-là.
Ce qui me fait tenir.
Merci.
Soyons très claire la psychiatrie française demande que je me suicide à petit feu en avalant une molécule chaque semaine, qui va me détruire, dégradant mon cerveau et mon corps ! Bien je refuse !
Ça c’est ce que je dis, mais en cherchant comment y échapper, je m’aperçois que c’est sans issue.
Depuis l’arrêt du traitement j’ai retrouvé l’équilibre de la marche, moins essoufflée, le cœur reprend son rythme, je ne fais plus de crises d’épilepsie, moralement je suis plus équilibrée, mon généraliste peut le constater. On doit rendre à César ce qui est à César, le corps à la médecine, chaque pathos psychiatrique est à déterminer en psychiatrie. J’aime ma façon d’être au naturel, elle n’a jamais nui à personne, ni à la société, je me sers de la création pour m’exprimer. Mes yeux à l’ophtalmo, mon généraliste pour l’ensemble corporel. Mon corps naturel. Point. Aucun trouble psychique à ce jour en sevrage n’a été constaté par ma généraliste. Je retrouve une sensibilité avec mes chats et ne trébuche plus sur eux, la vivacité d’esprit égarée par la chimie. Je respecte mon corps et ne le détruit pas. 17 janvier 2015. Pour une femme c’est important c’est elle qui procrée et transmet aux suivants.
Pourquoi le semap ? Pourquoi dois-je me détruire avec une corporation psychiatrique médicale ?
Comment dois-je interpréter ceci ?
Obligation de soins avaler la mort lente.
Puisque je ne puis faire autrement j’ai décidé que mon généraliste, et c’est mon droit, vu les problèmes physiques qui vont s’en suivre, être le plus apte à me suivre. Problème je n’ai pas le droit de changer de corporation et tous pratiques les DSM5.
Elle pourra constater les dégâts corporels que cette molécule inflige à l’homme. Je lui ai donné la liste de tous les symptômes. Aucun psychiatre prescripteur n’a voulu à ce jour les reconnaitre par écrit. Ni le Docteur Gougoulis, ni le Docteur Racine, j’attends leurs réponses et écrite parce que le volatil j’en ai assez aussi. Elle ne vient pas, aucune responsabilité sur les dégâts corporels
Un médecin est responsable de ce qu’il prescrit même sous contrainte. Ce sera une preuve hors psychiatrie, puisqu’ils refusent d’entendre mon corps. Je suis contrainte et forcée à ingurgiter du Semap, le 21 janvier certes, mais cette fois il y aura un médecin du conseil de l’ordre dument assermenté en médecine générale et déontologiquement, de droit. Nous savons tous les deux donc les maux qui vont se présenter, hors psychiatrie, qui va constater cette intoxication cérébrale neurologique chimique. Dans cet intervalle je n’ai rien pris. J’espère que l’Europe va me rattraper. Parfais mépris de l’autre quand on ne tient pas compte des problèmes du sevrage du premier traitement. Le silence en psychiatrie ça suffit, mon expérience va servir pour d’autres. La banalisation de tous les effets secondaires est inadmissible. Au moins ma déchéance servira en médecine. La mort sur ordonnance en psychiatrie ça doit s’arrêter pour nos enfants à venir. Pourquoi une telle corporation psychiatrique neurologique médicale a pris le pouvoir sur la médecine générale ? De quels droits ?
Décès de 17 personnes prenant un traitement de la schizophrénie et autres traitements antipsychotiques (medisite) voir autre morts avec ce genre de molécule et toutes mort-subite-antipsychotiques-et-schizophrenie. Alerte !
Encore cinq morts cobails aujourd’hui à la télévision. STOP !
Aucun espoir pour moi de sortir de là, la question maintenant grave, n’est-ce pas du nettoyage de la population de base, migration comprise, si l’Europe ne me rattrape pas je n’ai plus aucun avenir. Il faut être très clair, en France on abrège des vies volontairement. La mort légalisée en France ça continue encore.
Par destruction cérébrale et intoxication chimique neurologique.
Personne ne dira je ne savais pas, j’ai fait ce que j’ai pu, briser le silence dans la science coûte très cher en France.
Cette science dite humaine a quand même dans son histoire réitérée de morbidité scientifique de par le monde, de gros problèmes, moraux non ? Histoire des sciences psychiatriques, tortures comprises depuis la guerre 14-18. Alors je me pose la question qu’est-ce que fait Dassaut en recherche neurologiques et avec Alzheimer. On provoque cette maladie et avec beaucoup d’empathie on aide cette corporation de malades ? Qu’est-ce que le management des peuples, aux normes militaires de DSM5 américaines ?
Il ne faut pas laisser faire ça, jamais !
Pour ma part je ne puis plus rien faire, si je ne supporte plus cette déchéance organique, mentale et corporelle, me restera l’issue de Stéphane Zweig, j’en suis là à ce jour. Je vais voir à placer mes chats, vraiment je ne pensais pas que j’en arriverai là. A moins que je parte de mort subite et cérébrale, je ne sais pas. L’homme n’est pas un cobail, son cerveau non plus.
Pourquoi cette science dérape toujours dans l’abus en utilisant toujours les failles du droit ?
Il faut quand même maintenant se poser la question une bonne fois. Elle tue, ou elle soigne ?
Il faut se débarrasser de cette loi liberticide qui impose le soin sous contrainte à vie. Droit en France !
Le but est le traitement à vie du gouvernement français à l’heure actuelle, pourquoi ?
Urgence !
Voilà j’aurai averti, le reste ne m’appartient plus.
C’est maintenant que je réalise pourquoi même en détaillant les dégâts des molécules, les symptômes associés, des traitements, les alertes, aucuns médecins psychiatres, aucuns députés, personne ne veut rien entendre.
L’avenir est dans les mains de l’Europe, présentement. Pas dans le peuple de France.
Pourquoi la France ne tire jamais parti de son Histoire ? L’expression de l’extrême droite et du fascisme est toujours issue de la misère sociale, Arendt, la montée du nationalisme, nos enfants terroristes me font penser à la bande à Bader, chercher ailleurs une idéologie politique ou religieuse, si personne ne se souvient de l’HISTOIRE, ça sert à quoi ? ça fait des morts pour rien. Le laisser aller et laisser faire dans la santé publique ça sert à quoi ? Quand il n’y a plus de moyens d’expression des peuples il ne manque plus que la mèche. Ce n’est pas nouveau quand même ! Non l’organisation sociale n’explique pas tout !
Strasbourg où est ton humanisme et ton histoire ? pourquoi on fait perdre la mémoire au gens sous médication ? Une vie réduite à l’instant présent par régulateur d’humeur ? L’homme est en perpétuel évolution, ce n’est pas un objet de consommation. Question grave de déontologie et d’Éthique, a-t-on le droit de détruire le gaba du cerveau des gens par manipulation chimique et neurologique ? Et de créer des symptômes cérébraux à l’homme qui peuvent être irréversibles ?
Avec les nouvelles sciences ça va donner quoi, bio physiologiste, neurobiologiste et autres pour nos enfants à venir ? Si l’homme n’a pas plus de protection, ici et maintenant ?
Aucune réponse à mes messages d’avertissement sur la santé en France.
Qu’est-ce qu’une démocratie ?
Silence !
Assez de morbidité et de destruction dans la santé publique,
Les hommes vont vers la vie, pas la mort imposée.
Que c’est triste à 60 ans d’en arriver là !
Que c’est triste.
Ce constat.
En mémoire de quelques personnes du terrain dont j’ai beaucoup pris grand soin, mon grand-père de 14, 1945,monsieur Erlinchstein revenu de Dachau, monsieur Karakachian torturé en Turquie, un pilote chilien, torturé aussi……
Elle méprise toujours le corps et la souffrance de l’autre en utilisant le système de droit qui se présente. A l’heure actuelle elle utilise le cérébral humain en détruisant le biologique corporel, prête dans une parfaite impunité à le manipuler, l’amoindrir, détruire le peuple de la base, toujours, aux scientifiques intellectuels et militaire. Il faut toujours des années pour démonter ses pratiques.
Pourquoi cette profession il faut toujours la rappeler à l’ordre devant les droits de l’homme ?
Il faut toujours des années pour démonter son système, pour réparer son génial travail, mental et corporel. Des années pour démonter ses mensonges répétés. Quand on voit les dégâts corporels du premier traitement, comment les gens vont arrêter ce genre l’intoxication ? Quels pathologies chez eux ont été induites dans le monde ?
J’en ai un peu marre de la moralité de cette branche de médecine et de son Histoire, quand on connait ses avancées scientifiques personnelles. C’est une science qui n’a surgit sur le terrain quotidien qu’en 1961, archives de Strasbourg pour ma part de 1955. Jeune donc !
Elle devient de plus en plus dangereuse avec un mépris du corps de l’homme inimaginable !
Oui, maintenant elle me cause, d’après ce que je connais de son Histoire, ses avancées scientifiques réels, vraiment un problème de valeur morale, et d’éthique humaine de santé publique.
Et si j’avais signalé que j’avais des problèmes d’argent rien que pour parler, et acheter mes propres livres, elle était prête à me mettre sous tutelle ou curatelle.
Elle est manichéenne plus que constructive.
Il faudrait voir à ce que son Histoire ne se répète plus jamais.
Goebbels et Hitler ont parfaitement bien décrits le système.
Soit elle aide en tant que science le peuple elle dure
Soit elle détruit l’homme et ce n’est plus une science.
Qu’est-ce qu’une Science humaine ?
Il y a toujours une histoire des sciences, elle est longue à murir, à comprendre. Elle a le temps.
Et à l’avenir si les neurosciences débordent ils me trouveront sur leur chemin encore, pour leur prouver que le cerveau de l’homme n’est pas un montage de neurones.
Si je suis encore en vie.
A-t-on le droit de modifier le gaba de l’homme cérébralement en produisant autant de dégâts corporels ? Le cerveau de l’homme n’est pas un morceau de papier à saupoudrer un peu de sel et poivre selon le temps et l’histoire du moment. Il est toujours relié aux organes vitaux. Chaque jour mon cerveau de vieille en apprend et utilise ses apprentissages, a-t-on le droit de figer le système cérébral ?
La réponse je ne l’ai pas c’est l’Europe qui va vers la vie et la construction et nos enfants qui décideront le respect de cet humaniste.
Pour le respect de tous et non d’un groupe.
Situation actuelle pour moi.
Chaque jeudi je vois mon psychiatre le docteur Racine, je lui dis je sais ce que vous faites, vous êtes en train de me tuez, je m’y suis préparée, je viens pour ne pas être enfermée, je vois mon généraliste toute les semaines, c’est bien me répond-elle, c’est pour votre bien, si ça ne va pas on changera de molécule. Excuse quand je soulève tous les dégâts corporels que cela induit, elle me répond, vous l'avez relevé sur le vidal, donc même le vidal ment.
Chaque jeudi je vois l’infirmier monsieur Pogent, me fait ingurgiter le poison, et me dit encore parlons-en.
Je suis partie en l’ayant absorbée et lui ai répondu là vous m’en demandez trop
Ceci ne s’apparente-t-il pas à de la torture physique et morale ?
Voilà au 21 janvier 2016 j’en suis exactement là.
Qui est malade ? Où est la morale ? Où est hyppocrate ?
Je veux bien mourir mais pas en silence, ni dans l'indifférence de tous cette fois l'Europe et le Monde sait
Mon expérience avec cette science depuis quarante ans se doit de servir à nos enfants à venir européens et pour tous les hommes
J'ai avec ce traitement une durée de vie approximative d'un an, si je ne meure pas avant de mort subite
Je vais donc en urgence sécurisé la vie de mes deux chats et les rendre à l'association, ils n'iront jamais à la SPA,
Pour ne pas fausser le constat de mon généraliste j'ai décidé de garder le semap que pharmacovigilance accepte en France, ils n'ont pas répondu à mes alertes.
à noter que l'infirmier professionnel ne m'a pas donné le reste du traitement et l'anti épileptique pour la semaine.
Juste cette molécule ça n'a plus d'importance.
Je n'ai aucune garantie sur cette précaire liberté de corps que l'on m'accorde encore de droit
Comme le docteur Gougoulis m'a fait comprendre qu'il me fallait une prison médicamenteuse avec le semap, dernière mise en Ho,
J'accepte donc cette prison de droit.
J'étais une femme pleine de vie, n'oubliez jamais cela
Les sciences dites humaines ça sert à quoi ?
L’ Europe va-t-elle permettre d’éliminer le quart monde, le tiers monde, nos migrants, le peuple de souche en leurs créant des pathologies provoquées et mortelles dues à la chimie neurologique ?
Cette pratique oligarchique, court quand même depuis plus de vingt ans de par le monde !
Quelle science humaine a le droit de tuer l’homme et de réduire sa vie ?
Plus elle avance cette science plus elle fait de dégâts mondiaux
Comme si l’homme n’avait pas sur cette terre assez de maladies comme ça !
SOP !
Au gaba génétiquement modifié neurologiquement cérébral : extinction de branches généalogiques-dettes !
Merci à tous
Mes recherches si je survis, se feront vers la Finlande et l’Irlande, plus neutres
PS :
le tribunal de Vitry qui est fermé a fait un jugement sans ma présence je l'ai reçu et à renvoyer le 1 er février 2016
il a transformé la mise en demeure à mon domicile pour que j'ai la possibilité de ne pas être interner et être achevée en psychiatrie
il a demandé un traitement au mois pour ne pas enfreindre la loi, mais ça m'évitera de faire un arrêt cérébral avec le semap
le dispensaire ne l'a pas encore reçu, je ne vais pas pouvoir tenir longtemps à ce rythme là,
ils ont demander que je fasse fasse à mes tueurs qu'une fois par mois
dans mon affolement je n'ai pas fait de photocopie
comment cela se passe légalement ? Est-ce que le jugement va parvenir directement à mes tueurs, torture morale et torture par dégradation physique
ps
comment puis-je contacte les bienfaiteurs délinquant comme moi ?
Laura Micaletto(greffier) impossible à joindre
Danielle Boyard impossible à joindre
Combien de temps met les jugements pour être appliqués
tous les jeudis, je dois avaler une molécule tueuse, je risque un arrêt cérébal
tous les jeudis je suis confronter à la torture mentale, ils rient me disent que c'est pour mon bien et rient
Marie-Lise Ehret
le 5 février 2016
hier ils n'avaient encore rien reçu
dégradation physique et dégradation morale de droit, je ne vais pas tenir longtemps à ce rithme là
avoir essayé les traitements et les molécules une par une pour comprendre que ça menait à aliograchie, mon corps s'affaitblit
Rédigé par : Marie-Lise EHRET | 06 février 2016 à 20:00