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05 juin 2011

Commentaires

A Nicol

Quelques suggestions :
- au début de la mode des blogs (il y a plusieurs années), le journal Le monde (réputé autrefois pour son sérieux) proposait sur son site : "créez votre blog ici" et c'était rassurant d'affilier son blog à un journal à peu près sérieux (le blogueur débutant pouvait hériter d'une part du prestige reconnu de ce journal)
- lors de l'achat d'une paire de lunettes de soleil de marque, on repart avec un bel étui (de marque, donc) : très chic d'avoir une monture avec un logo de marque discret, et un étui élégant dans son sac à main...
- certaines marques de chaussures (manfield) fournissent pour les modèles "indémodables" des étuis en tissu pour les protéger de la poussière
- il arrive parfois d'avoir en plus d'un CD de musique des objets en plus (petit livre, etc.) : il est vrai que la vente de Cd-rom ayant à concurrencer la vente en ligne, on achète le Cd-rom pour l'objet en lui-même aussi... autant qu'il soit beau ou qu'il permette de créer une "communauté d'esprit" avec l'artiste !

sophie jullien

je reste sur ma faim...votre analyse me semble manquer et de profondeur et d'opérationnalité :
manque de profondeur : vous considérez la performation comme étant facteur quasiment conscient; en tout cas essentiellment comportemental; et nécessairement assortit de bénéfices pour l'individu ( et donc un levier pour la marque) sans chercher à décrypter d'autres interactions ou d'autres niveaux de signification ou de lien. voire d'effets pervers, ou encore de dérives. Votre point de vue reste gentillet.
d'ailleurs, vous ne précisez à aucun moment vos méthodologies de recceuil d'information ou vos sources. curieux pour un institut d'études
faible opérationnalité : votre bilan et vos exemples ne permettent pas de situer de manière pragmatique où sont les marges de manoeuvre pour les marques, quelles valeurs peuvent se dégager de la mise en oeuvre d'actions visant à s'appuyer sur la performation par la marque ; ni avec quels indicateurs définir et mesurer les résultats d'une action ou d'une série d'actions, aucune dimension stratégique n'émerge clairement de votre bilan. ( avantage concurrentiel ? satisfaction ? recommandation ? fidélisation ? augmentation du prix de vente ? coût de l'implication des distributeurs ? )
vos exemples sont souvent cantonnés dans les secteur du luxe ou de l'artisanat, des secteurs qui ne vous ont pas attendu pour manager ces valeurs performatives.
Pour quand une analyse un peu plus fouillée, punchy, voire, engagée ?

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